Manuela

Militante membre du bureau et du conseil administratif de Osez Le Féminisme 31! 

Bénévole chez Utopia 56.

Travailleuse sociale.

Non encartée, penchant communiste.

Tristan Martin

Responsable départemental Haute-Garonne et Gers pour République Souveraine. Travailleur dans l'alimentaire syndiqué Force Ouvrière. Gilet Jaune.

Penchant pour une République autogestionnaire

Elise

Autrice / illustratrice pour une littérature jeunesse engagée.

Etudiante en graphisme.

Agent de puériculture.

Pour une République Souveraine

Lunga

Étudiant en anthropologie

Non encarté

Penchant anarchiste

Eliot Suaud

Pianiste, professeur de piano et compositeur.
Anciennement encarté au Parti Socialiste, aujourd’hui chez République Souveraine. 

Notre charte

  L'objectif de notre journal est de refléter la réalité de la vie, la misère et la détresse au sein du pays.

 Nous voulons être le porte-voix de celles et ceux qui n’arrivent plus à garder la tête hors de l’eau alors que la droite est obnubilée par la question migratoire (de Gérald Darmanin à Eric Zemmour),

 et que la gauche a sombré dans le libéralisme économique et/ou culturel (de Philippe Poutou à Anne Hidalgo).


  Nous voulons être celles et ceux qui n’ont pas peur d’avancer les preuves que le capitalisme (qui plus est sous E. Macron) est le cancer de notre monde et de proposer des solutions pour s’en extirper.

 Montrer qu'une société juste et équitable est possible, en trois mots  : Liberté, Égalité, Solidarité.

Afin d'avoir un point de vue journalistique le plus neutre possible, nous faisons la différence entre points de vues subjectifs et rapports de données objectifs.

 

Nos principales valeurs :

 

  • Le socialisme : qui est une théorie économique et sociale visant à transformer l'organisation sociale dans un but de justice

entre les hommes et les femmes en abattant le capitalisme, en accord avec un environnement en bonne santé. La mise en commun des moyens de production, la démocratie entière et totale sont les deux points principaux pour permettre à une société socialiste de voir le jour. La souveraineté y joue un rôle central. C'est par la légitimité du peuple que l'on pourra changer le système en place. La souveraineté populaire assure au peuple de pouvoir s'exprimer de quelque manière que ce soit et de faire respecter ses choix, et la souveraineté nationale permet un respect de l'expression populaire contre toute tentative d'intervention néfaste venue de l'extérieur capitaliste.

  Nous voyons la voie réformiste envisageable dans le cadre d'une révolution par  les urnes mais elle demande pour cela une conscience de classe ainsi qu'une conscience citoyenne de nos commatriotes et compatriotes. Le contrôle des médias par une oligarchie financière ainsi que la destruction des acquis sociaux français par les gouvernements successifs sont en grandes parties responsables de la perte progressive de la conscience de classe et de la conscience citoyenne chez nos commatriotes et compatriotes.

  La voie de la révolution armée est aussi envisageable dans le cas où les perspectives de changement radical dans la société sont impossibles. Mais elle demande une dévotion absolue de ses leaders, qui se doivent d'être désintéressés par le pouvoir, au risque de voir d'autres états ouvriers dégrénés apparaitre, faisant rater la révolution.
  Les choix qui devront être fait pour créer le Socialisme se doivent d'être éclairés et raisonnés, et non être des applications irrationnelles d'un quelconque dogme politique ou religieux. Nous restons ainsi pragmatiques.

 

  • L’égalité des individues et individus : c'est-à-dire ne faire aucune discrimination entre les êtres humains, sur le plan de leurs droits. Ce journal se veut donc pour une laïcité impartiale, ainsi qu'une lutte contre toutes formes de discriminations (origines, genre, handicap) sans tomber dans le piège des progressistes bourgeois. Le capitalisme est la racine des discriminations par la mise en concurrence permanente des gens, les poussant à se détester mutuellement. Combattre toute oppression sans remettre en cause sa base capitaliste est, pour nous, au mieux une erreur, au pire une malhonnêteté intellectuelle.

 

  • La laïcité : représente la séparation de l’Etat et de toute organisation religieuse. Donc l’organisation politique repose sur la

seule souveraineté du peuple citoyen composant également l’Etat. Ce dernier ne reconnaît  et ne finance aucun culte. Les organisations religieuses sont exclues de l’exercice de tout pouvoir politique et administratif de la société. Par là, l'Etat ne dirige pas le fonctionnement interne des organisations religieuses. 
  Notre journal qui se veut laïc face aux controverses actuelles présentes au quotidien, est donc indépendant des conceptions religieuses ou partisanes.

 

  • L’écologie : est l'équilibre entre les humains et l'environnement naturel tout en veillant à ce dernier.

  Selon nous, l'écologie réaliste passe par la protection des milieux, le soutien au nucléaire civil maîtrisé, disparition totale de la logique consumériste, telle est la ligne pour ne laisser personne sur le carreau.
  L’écologie est mise davantage en avant en politique depuis les années 1980. D’abord en Allemagne, ensuite en France et en Europe. L’apparition de partis écologistes dans les années 1990 dans différents gouvernements européens, a permis de mettre plus en avant les problématiques environnementales devenant alors et toujours aujourd'hui urgentes. Néanmoins la plupart des partis dit écologistes ont adopté des directions politiques libérales et pro-européennes telle que la disparition du nucléaire civil, l'ouverture des énergies renouvelables en tant que marché financier ou bien tout simplement de créer un capitalisme durable ou vert. Ces lignes sont souvent portées par la petite et moyenne bourgeoisie qui y trouve une gloire morale, se gargarisant d'être des progressistes. 
  ll faut au contraire soutenir le nucléaire civil aux effets quasi nul sur les émissions de gaz à effet de serre et très bon marché, protéger les zones non urbanisées, leur faune et leur flore, végétaliser les centres urbains, recréer des lignes de train interdépartementales et locales pour permettre une grande mobilité douce, produire quasi exclusivement en France pour garder les emplois et ne pas faire venir de l'autre bout du monde par cargos hyper polluants tous nos produits transformés, revoir nos cultures dont le maïs qui est une aberration hydrique. Il y'a des solutions pratiques, utiles et pas si chères pour avancer sur l'écologie, mais étant donné que ce n'est pas rentable pour les financiers, ils feront tout pour les éviter.

 

  • Le féminisme radical : L’objectif du féminisme radical est de retourner aux racines de l’oppression des femmes. Selon Robin Morgan, l’une des principales théoriciennes du mouvement, ces racines renvoient au sexisme systémique qui alimente à la fois « le racisme, la lutte des classes, l’agisme, la compétition, la catastrophe écologique, ainsi que l’exploitation économique » ; autrement dit, le patriarcat. 
      Il accuse le féminisme libéral pour son confort, primant l’individu sur le collectif, freiné par des stéréotypes de sexe véhiculés par la culture, les représentations individuelles et sociétales, et les normes sociales discriminantes inculquées dès le plus jeune âge. Il conteste la responsabilité des structures de pouvoir.
      Elle ajoute que les révolutions modernes ne sont que des « coups d’État entre hommes, dans le but de secouer les branches sans réellement retirer les racines, afin de préserver leurs privilèges masculins ».  D’autres systèmes de domination existent et s’imbriquent avec pour effet d’imposer à certaines femmes une accumulation des discriminations. Ce féminisme se positionne dans un refus de l’ensemble de ces systèmes néfastes.

  Le féminisme radical propose une révolution par et pour les femmes ; premièrement avec l’expérience de toutes les femmes en tant que classe opprimée, notamment au travers de l’appropriation des corps féminins. Le groupe permet de mieux lutter face au patriarcat, la sororité est donc essentielle.
    Pour exemple la prostitution et la pornographie sont deux formes de violences envers les femmes. Ces dernières représentent la marchandisation du corps des filles et des femmes. Ce sont les plus précarisées dans nos sociétés qui sont les victimes du système prostitueur, celles qui se trouvent à la croisée de multiples systèmes d’oppression : patriarcal, capitaliste et raciste. La prostitutions et la pornographies sont contraires à la dignité humaine et au droit à disposer librement de son corps. Ces dernières sont un frein à la liberté sexuelle de chacune et de chacun.

 

  Chaque journalistes de l'Expression populaire se doit de respecter les valeurs principales et d'un  journalisme objectif.

 

Tristan, Manuela, Elise

 

 

 

 

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